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17 août 1943, attaque des B-17 sur Istres.
Les Lockheed F-4 et F-5 de reconnaissance, basés en Tunisie, sont les premiers vers la mi-juillet à ramener les preuves tangibles du déploiement de forces aériennes allemandes dans le sud de la France.
Dans cet inventaire hétéroclite, ce sont toujours les increvables trimoteurs Junkers 52 qui dominent mais ils côtoient des appareils beaucoup plus insolites, des tracteurs de planeurs pour la plupart.
On dénombre également des Dornier Do 17, des Henschel Hs 126, des quadrimoteurs Ju 290 ainsi que des Lioré & Olivier 451 saisis.
Des lors, le terrain d’lstres et dans une moindre mesure celui de Salon, sont placés sous haute surveillance. En effet, en plus de I ’imposante flotte des transports, il apparait que la Luftwaffe dispose également sur place de plus de cent bombardiers-torpilleurs. Cette accumulation de moyens aériens amène les Alliés à monter un raid destine à éradiquer définitivement cette menace en vue des futurs débarquement
Ainsi sont présents de gigantesques Messerschmitt 321 certains en version planeur d’autres dans la variante motorisée (Me 323) |
de même, des Heinkel He 111 dont quelques exemplaires du modèle Z a deux fuselages et cinq moteurs. |
Plusieurs centaines de planeurs (environ 300 d’après les ordres batailles) DFS 230 et Gotha Go 242 viennent également renforcer les moyens de I ’aviation allemande. |
Istres avant l’attaque du 17 aout ; on distingue une centaine d’appareils Ju 52, Do 17, He 111 Z et des planeurs DFS 230, Go 242 et Me 321. |
Des lors, le terrain d’lstres et dans une moindre mesure celui de Salon, sont placés sous haute surveillance. En effet, en plus de I ’imposante flotte des transports, il apparait que la Luftwaffe dispose également sur place de plus de cent bombardiers-torpilleurs. Cette accumulation de moyens aériens amène les Alliés à monter un raid destine à éradiquer définitivement cette menace en vue des futurs débarquement
Si les unités sont aguerries, beaucoup d’équipages sont composes de nouveaux venus avec moins de dix missions de guerre à leur actif. |
La mission qui leur est assignée en ce beau jeudi d’été, consiste à venir frapper les terrains d’lstres et de Salon en deux vagues qui se présenteront sur l’objectif a une heure d’intervalle. |
A cette fin les avions ont été armés de petites bombes à fragmentation M-41. Pesant environ dix kilos, celles-ci ont été chargées par palettes de vingt-cinq dans la soute des « Forteresse ». La légèreté de ce projectile peu courant a rendu également nécessaire l’installation d’une table à calcul spéciale sur les viseurs de bombardement Norden, fierté de I’USAAF.
Un quart d’heure plus tard, passant à leur tour la verticale du « IP », les B-17 du 97th BG prennent une route magnétique 035 en direction de Salon. |
Le terrain d’lstres-Le Tube est puissamment défendu par une trentaine d’ affûts antiaériens qui déclenchent un tir de barrage et encadrent bientôt les quadrimoteurs. |
A Marignane, de l’autre côté du golfe, les pilotes constituant l’alerte du JagdGruppe Sud se précipitent vers leurs Messerschmitt. |
Istres sous les premières bombes |
Sa tâche accomplie la vague de quadrimoteurs vire cap au sud. Neuf des leurs ont subi des dommages Cependant les intercepteurs allemands sont encore loin et leurs pilotes impuissants ne peuvent que suivre des yeux le retrait de la force d’attaque.
Toutefois, ils repèrent bientôt d’autres traînées de condensation indiquant l’approche d’une nouvelle formation ennemie. |
Sous la direction de leur contrôleur d’interception, les chasseurs prennent alors un nouveau cap afin d’essayer de s’opposer à cette incursion.
Arrivé à la verticale de Salon, les quarante-quatre appareils du 97th BG se délestent de leurs milliers de petites unités à fragmentation avec, là encore, des effets dévastateurs. |
La réaction tardive et peu précise des trois batteries de 88 mm qui protègent le terrain, ne peut entraver la course du raid. Les Américains opèrent comme à l’exercice sans subir de dommages.
Les bombardiers sur le chemin du retour sont cependant attaqués au-dessus de Port Saint-Louis du Rhône par la patrouille du JGr. Sud. |
A Marignane, l‘alerte retentit à nouveau. Cette fois, huit chasseurs monomoteurs s’élancent sur la piste. Ils constituent les seuls moyens alors à la disposition du commandement local de la chasse, le Jafü Sud.
Bien que le fuselage ait été sectionné à l’aplomb du poste de pilotage, l‘avion continue encore d’évoluer quelques secondes en ligne droite.
Fasciné, Winfred Tozier voit ainsi le mitrailleur latéral s’extraire de son poste de tir et se parachuter. |
Insensiblement, le quadrimoteur s’engage en piqué. De la fumée et des débris continuent de s’échapper de la soute à bombes. L’avion se replie soudain sur lui-même. Les ailes remontées presque à la verticale du fuselage il s’abat comme une pierre à proximité de la piste.
Tandis que les avions du 97th BG s’éloignent, l’aérodrome est à nouveau en proie à de violents incendies. Les servants de DCA hébétés abandonnent leurs pièces surchauffées pour participer aux secours. Beaucoup des leurs ont été fauchés par des éclats. Certains emplacements ont été réduits au silence après avoir reçu des coups directs. Partout les carcasses des transports finissent de se consumer.
Le compartiment radio est en feu. Dans le poste de pilotage la chaleur devient insupportable. |
Immédiatement, le grand avion quitte la formation. Tout l’avant du fuselage est maintenant en feu, de même que l‘aile ravagée par les flammes sur toute sa longueur. Le B-17 s’engage alors dans un piqué de plus en plus accentué pour atteindre pratiquement la verticale.
La cellule soumise à une contrainte intolérable se désintègre alors en plein vol. |
Fugitivement, le mitrailleur aperçoit une tache blanche se détacher de la masse informe : un septième homme vient de se parachuter in extremis. |
Deux chasseurs ennemis évoluant bien en dessous des bombardiers surveillent la scène sans manifester d’agressivité particulière.... |
Le sergent Gagnon n’a pourtant pas le temps de s’appesantir beaucoup sur le sort de l‘équipage du 388. « Ennemy aircrafts 6 o’clock high » ; cet avertissement se répand sur les ondes qui sont bientôt saturées d’appels et d’invectives.
Fondant en piqué sur le dispositif américain, les chasseurs allemands passent à l‘attaque. |
Confidence pour confidence, Kinnen lui apprend qu’avant d’être évacué il a vu Kasper, apparemment en bonne forme, aux mains des allemands. Les corps sans vie des Sergeants Turner, Ziegler et Karcich seront en revanche relevés à proximité de l’épave de leur B-17.
Malgré les efforts déployés pour les retrouver, Fisher et ses trois compagnons parviennent à se soustraire dans un premier temps aux recherches entreprises tant par les troupes d’occupation que par la résistance locale...
Alors que les restes fumants du « Danny Boy » finissent de se consumer, un autre B-17 vient terminer son parcours en Provence. Contrairement aux appareils du 5th BW, c’est un pur hasard qui conduit le « Fertile Myrtle » basé au Royaume-Uni à venir survoler le sud-est de la France. II s’agit en effet d’un rescapé du raid entrepris ce même jour par la 8th AAF contre les usines Messerschmitt de Regensburg.
Tandis qu’il laisse défiler sur sa droite le Cap Blanc, le 1st Lieutenant Dale A. Shaver, du 390th BG, qui tente de gagner I ’Espagne avec sa « Forteresse volante » endommagée sait qu’il ne lui reste plus de carburant que pour quelques minutes de vol.
Le train principal du B-17, sans doute endommagé en même temps que le réservoir, refuse de descendre. Le bombardier vole désormais trop bas pour qu’on songe à utiliser les parachutes et les hommes du « Fertile Myrtle » n’ont plus d’autre choix que de tenter une pose sur le ventre.
Le B-17 en approche attire l’attention des militaires italiens qui occupent l’aérodrome à partir duquel ils mettent en œuvre quelques petits bimoteurs de liaison Caproni Ca 313. |
Photo du B-17F (423305) « Fertyle Myrtle » du 568 th BS, posé tant bien que mal à proximité du terrain d’Hyères-Le Palyvestre. |
Autre vu du « Fertyle Myrtle » ; pris sous un angle diffèrent. Le sort final de ce bombardier, en apparence peu endommagé, reste inconnu. |
Rapaces - 003-014-028-115
La Bataille d'Angleterre
Titre original | Battle of Britain |
---|---|
Réalisation | Guy Hamilton |
Scénario | Wilfred Greatorex James Kennaway d'après Derek Dempster et Derek Wood |
Acteurs principaux | |
Pays d’origine | Royaume-Uni |
Genre | Film de guerre |
Mai 1940.
En quelques semaines, de huit à dix millions de personnes s'enfuient de Belgique, des régions du Nord puis de l'Île-de-France et du Centre vers le Sud de la France, emportant avec elles de maigres bagages. Cet exode jette sur les routes des familles belges, hollandaises et luxembourgeoises (deux millions de personnes) et françaises (deux millions de personnes également) dès mai 1940, dans un chaos hétéroclite de piétons et de véhicules de toutes sortes, gênant le déplacement des troupes alliées.
Juste au moment où le personnel au sol enflamme l'avion... |
...un escadron de ME-109 allemands vole au niveau de la cime des arbres et tire sur l'aérodrome. |
La lettre qui a changé le cours de l'histoire.
May 16, 1940 SECRET HEADQUARTERS FIGHTER COMMAND
ROYAL AIR FORCE,
BENTLEY PRIORY,
STANMORE,
MIDDLESEX.
Monsieur,
J'ai l'honneur de me référer aux appels très sérieux qui ont été récemment faites sur le Home Defense Fighter'Units dans une tentative d'endiguer l'invasion allemande sur le continent.
2, j'espère et je crois que nos armées peuvent encore être victorieuses en France et en Belgique, mais nous devons faire face à la possibilité qu'ils puissent être vaincus.
3. Dans ce cas, je présume qu'il n'y a personne qui nie que l'Angleterre devrait se battre, même si le reste du continent européen est dominé par les Allemands.
4. À cette fin, il est nécessaire de conserver certaines forces de combat minimum dans ce pays et je dois demander que le Conseil de l'Air m’informe ce qu'ils considèrent comme ce minimum de force, afin que je puisse prendre mes dispositions en conséquence.
5. Je rappelle au Conseil de l'Air que la dernière estimation qu'ils ont fait quant à la force nécessaire pour défendre ce pays était 52 escadrons, et ma force a été réduite à l’équivalent de 36 escadrons.
6. Une fois qu'une décision a été prise quant à la limite que le Conseil de l'Air et le Cabinet sont prêts à fixer pour l'existence du pays, il convient de le préciser aux Allied Commanders sur le continent que pas un seul avion du Fighter Command au-delà de la limite ne sera envoyé à travers la Manche, peu importe à quel point la situation peut devenir désespérée.
7. On se souviendra, bien entendu, que l'estimation de 52 escadrons était basée sur l'hypothèse que l'attaque viendrait de l'est sauf dans la mesure où les défenses pourraient être débordées en vol. Nous devons maintenant faire face à la possibilité que les attaques peuvent provenir de l'Espagne ou même de la Côte nord de la France. Le résultat est que notre ligne est amplement prolongée en même temps que nos ressources sont réduites.
8. Je dois souligner qu'au cours des derniers jours, l’équivalent de 10 escadrons ont été envoyés en France, que les Hurricane Squadron qui restent dans ce pays sont sérieusement épuisés, et que plus d'escadrons sont envoyés en France, plus haut sera le gaspillage et plus insistant seront les demandes de renforts.
9. Je dois donc demander qu’en tant d’urgence primordiale, le ministère de l'Air considère et décide quel niveau de force doit être laissé au Fighter Command pour la défense de ce pays, et qu’il m’assure que quand ce niveau a été atteint, pas un combattant ne sera envoyé à travers la Manche même si l’urgence et les appels insistant à l'aide peuvent être faits.
10. Je crois que si une force de combat adéquate est gardé dans ce pays, si la Home Forces et les forces terrestres sont convenablement organisées pour résister à l'invasion, nous devrions être en mesure de poursuivre la guerre un certain temps à nous seul, sinon indéfiniment. Mais, si la Home Defence Force est entrainée dans des tentatives désespérées pour remédier à la situation en France, la défaite en France impliquera la défaite finale, complète et irrémédiable de ce pays.
J'ai l'honneur d'être,
Monsieur,
Votre obéissant serviteur,
Air Officer Commanding-in-Chief,
Fighter Command,Royal Air Force.
Fighter Command,Royal Air Force.
Hugh Dowding
En France conquise, un grand groupe de bombardiers allemands HE-111 s’établi autour d'un ancien aérodrome français, prêt à être déployé contre les îles britanniques. |
- En cette fin de juin 1940, Hitler est certain que la guerre va s’arrêter à l’Ouest. A ses yeux, la poursuite d’un combat aussi inégal par l’Angleterre est absurde. D’un côté, l’Allemagne n’a aucune revendication à l’égard du Royaume-Uni. D’un autre côté, l’Empire britannique n’est pas en mesure de s’opposer à une puissance continentale comme l’Allemagne. Son économie est à bout de souffle et ne peut fournir les moyens d’une guerre moderne sans des importations massives en provenance des Etats-Unis, lesquelles se payent au prix fort. Or, dans quelques mois, au printemps 1941, les caisses de la Banque d’Angleterre seront vides.
- Hitler est si convaincu que les Anglais vont demander la paix qu’il ne cherche pas à pousser son avantage. Il refuse de saboter les approvisionnements alimentaires britanniques ou de préparer des attaques bactériologiques, tout comme il interdit à l’amiral Raeder de planifier des attaques contre des bases de la Royal Navy ou de préparer une invasion des îles britanniques. Un des adjoints de Jodl déclare même : « Le Führer n’a pas du tout l’intention de détruire l’Empire britannique, car la chute de l’Angleterre se ferait au détriment de la race blanche. Ce qui justifie une possible paix avec l’Angleterre après la défaite de la France et au détriment de celle-ci. On demanderait le retour de nos anciennes colonies et la fin de l’influence anglaise sur le continent. En ce qui concerne l’invasion de l’Angleterre, à ce jour le Führer n’a rien prévu de tel. »
(Officier) - Combien d’heures de vol sur Spitfires ?…(Pilote novice) - 10 heures et demi… (Officier) - et bien vous en ferez 11 avant que les Fritz vous croquent au petit-déjeuner. |
La RAF commence à organiser les défenses des chasseurs côtiers contre l'assaut aérien allemand prévu. Ils comptent beaucoup sur la capacité des nouvelles tours radars côtières à fournir des alertes précoces aux raids aériens allemands. Même avec l'aide du radar, l'avantage numérique allemand signifie que les pilotes britanniques doivent abattre des avions allemands à raison de quatre pour un.
Contrairement aux Anglais, les Allemands victorieux sont suprêmement confiants et arrogants. |
Des barges d'invasion sont en cours de transport vers la côte de la Manche. |
- L'opération Seelöwe (otarie) était le plan d'invasion allemand de l'Angleterre. Suite au succès d'Eben-Emael le 10 mai 1940, le maréchal allemand Milch propose de larguer deux divisions de parachutistes sur le sud-est de l'Angleterre pour occuper les aérodromes situés entre Douvres et Portsmouth. Ces têtes de pont seront alors ravitaillées et renforcées par les airs, pendant que les avions de chasse et de bombardement viendront s'installer sur les aérodromes conquis. La seconde phase de l'opération consiste en un débarquement des troupes au sol sur les plages à proximité des têtes de pont. Initialement, le début de cette opération est prévu pour le 17 septembre 1940.
- Mais elle suppose une phase de préparation pour que l'aviation allemande parvienne à gagner la supériorité aérienne au-dessus de la Grande-Bretagne, c'est l'opération Adler. Ce projet audacieux peut surprendre, car il sera mis en œuvre avec succès, à peu de choses prêt, en Crète l'année suivante. Il ne sera cependant pas utilisé contre l'Angleterre, d'une part à cause de l'échec de l'opération Adler, mais également par manque de navires capables de transporter hommes et matériel face à une Royal Navy prête à se sacrifier dans la Manche pour anéantir la flotte d'invasion. A cette même époque, les préparatifs pour l'invasion de la Russie par l'Allemagne (opération Barbarossa) battent leur plein. Dès lors, la bataille d'Angleterre prend une autre tournure et consistera uniquement à maintenir la pression sur l'industrie et la population britannique en espérant une victoire rapide à l'Est.
Le 10 août, la Luftwaffe lance l'Adlertag (Jour de l'Aigle), une frappe massive contre les sites radar britanniques et les aérodromes proches de la côte. |
- Durant la première phase, l'aviation allemande se consacra à l'attaque des convois de ravitaillement britanniques. Cette tactique avait pour but d'isoler le Royaume-Uni et de forcer les appareils de la RAF au combat. Après un mois d'attaque des convois peu efficace (1 % du tonnage sous pavillon britannique coulé), l'état-major allemand décida d'affronter directement la RAF sur son sol. Pour ce faire, l'attaque des aérodromes militaires britanniques et des usines de l'industrie aéronautique fut ordonnée. Cette période démarra le 13 août 1940, jour baptisé Adler Tag (Jour de l'Aigle), le mauvais temps ayant repoussé d'un jour le déclenchement des opérations. Le 15 août, persuadé que la RAF avait perdu près de 300 appareils (soit la moitié de son effectif théorique) et que les avions basés dans le Nord du Royaume-Uni avaient été déplacés plus au sud, la Luftwaffe lance dans la bataille sa Luftflotte 5, basée en Norvège et au Danemark. Elle devait attaquer des objectifs en Écosse et dans les Midlands mais les chasseurs de la RAF étaient toujours là et infligèrent des pertes sévères (20 %) à la force d'attaque. La Luftflotte 5 fut retirée de la bataille et ses appareils furent envoyés en renfort pour les Luftflotten 2 et 3. Le 15 août étant un jeudi, il fut appelé "Jeudi noir" par la Luftwaffe. Le 18 août fut le jour le plus terrible pour les deux camps qui enregistrèrent le plus de pertes ce jour. Les pertes de bombardiers en piqué Stuka furent telles ce jour-là que l'état-major allemand décida de les retirer en attendant des jours meilleurs.
Les bombardiers HE-111 et les chasseurs ME-109 rugissent de leurs aérodromes français. |
L'attaque est précédée par des bombardiers en piqué JU-87 Stuka, laissant tomber leurs charges sur les tours radar britanniques gênantes. |
Les Stukas vulnérables sont bientôt attaqués par les Spitfires britanniques, qui s'en tirent rapidement. |
Juste derrière les bombardiers en piqué, plus de 100 Heinkel HE-111 traversent la côte britannique, escortés par des chasseurs ME-109. |
Les aérodromes britanniques sont bientôt pris sous des attaques lourdes, alors que les pilotes se bousculent pour faire voler leurs Hurricanes et leurs Spitfires. |
Les Britanniques infligent des pertes d'avions aux Allemands à un taux de trois pour un, mais les aérodromes sont lourdement endommagés. |
En représailles, les Britanniques lancent leurs premiers raids aériens sur Berlin. La Luftwaffe organise bientôt des raids nocturnes sur Londres, mettant le feu à la ville. |
4 septembre 1940 : le discours hystérique d’Hitler au Sportplast
- T5 qu’est-ce que c’est ? Une escadrille d’entraînement Sir, des Polonais - Sortez les moi de là, qu’ils se posent. |
Tour de contrôle : prenez le cap 3.2.0 et posez-vous. Commandant faucon noir à section A : virez à gauche et au Cap 3.2.0… Répéter 3.2.0, je dis répéter 3.2.0. |
Les Polonais ayant repéré une escadrille de bombardiers nazis, attaquent l’ennemi sans suivre les ordres de leur ‘squadron leader’. |
La lutte désespérée atteint un crescendo le 15 septembre 1940. La Luftwaffe lance vague après vague des bombardiers et des combattants contre Londres, mais la bataille est un désastre pour eux |
Les pilotes de la RAF abattent des dizaines de bombardiers allemands... |
...contre moins de 30 combattants britanniques perdus. |
Non seulement vous m’avez déçu, mais vous m’avez trahi ! |
Winston Churchill a rendu un hommage mérité aux aviateurs courageux:
"Jamais, dans le domaine des conflits humains, tant de gens ne devaient tant à un si petit nombre.
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Merci Lulu et Kraven64 en rétrospective..!.
RépondreSupprimerMême si cela reste des machines de guerre, qu'es-ce qu'ils avaient de la "gueule" ces avions, les photos et peintures sont magnifiques.
RépondreSupprimerSuite à l'examen de la 2ème fiche, 20/20 au concepteur et remerciements aux contributeurs.
RépondreSupprimerNouveaux liens le 08/04/21
RépondreSupprimerMerci beaucoup ;)
RépondreSupprimerRapaces 281 proposé ici serait en fait TORA 075, avec les couvertures du Rapaces.
RépondreSupprimerLe DL en page 128 correspond bien au numéro de Tora paru en 1978.